Jaina D'Arcy. [terminé]

That’s all about me…



Nom : D'Arcy

Prénom(s) : Jaina

Surnom : Jay/Ji

Âge : 25 ans

Caractère : Caractère tout feu, toute flamme. Jaina est une extrémiste, une passionnée. Altruiste, elle est prête à tout pour aider les gens dans la détresse, qu'ils soient amis ou tout à fait inconnus. Elle va spontanément vers les autres, probablement un réflexe de flic. Elle est susceptible, laconique, timide, renfermée... C'est quelqu'un d'entier, à fleur de peau. Elle n'hésite pas à donner de sa personne. L'amitié chez elle est sacré. Elle est dotée d'un sens aigu de la justice.

A quoi je ressemble sur la photo ? : Une jeune femme brune aux traits fins. Un regard étrange, malsain au premier abord, et à qui n'a jamais été confronté à cela : il est vairon, l'oeil gauche est bleu. Elle est très fine, athlétique, d'une minceur parfois inquiétante. Des tatouages, à la base du cou, quelques cicatrices sur son corps meurtri par l'entraînement. Bien souvent en uniforme du LAPD. Sinon, jeans, veste de costard, chemise, sont son uniforme de base. Vous ne la verrez jamais avec un sac à main. Elle aime jouer de son androgynité. Très peu de maquillage, juste un peu de crayon sous les yeux, pour renforcer le pouvoir de son regard. Ses cheveux souvent courts sont coiffés avec un peu de gel, afin qu'ils retombent sur son visage.





Pays/région d’origine : France, Brulhois

Pourquoi Los Angeles ? : L'American Dream, tout simplement. C'est dans ce coin de Californie que Jaina jette son dévolu, attirée par la liberté, le fait qu'on puisse là-bas afficher simplement ce qu'on est sans crainte d'être jugé. Et puis tant de films mettant en scène la LAPD... Jaina s'est trouvée attirée par le mythe de cette ville. Et n'oublions pas non plus la part du California dreamin'.

Famille : En vérité, je n'ai pas vraiment de famille. J'ai perdu mes parents très jeune. Ils étaient tous deux flics. Des émeutes me laissèrent, avec ma soeur, Jade D'Arcy, orphelines. De fil en aiguilles, ma famille s'est réellement constituée à l'université et dans la police un peu plus tard. C'est pour ça que je leur voue une telle fidélité. De plus, je n'ai pas l'habitude de me lier énormément...







Orientation : Lesbienne.

Relations amicales : J'aime sortir de temps en temps, oublier le métier pour lequel je vis. En général, mes amies, je les croise dans les couloirs du commissariat, ou en boîte. Le hasard des rencontres, car je ne suis pas du genre à franchir le pas. Avec mes potes, on fait les 400 coups. Eh oui, justicière mais certainement pas prude. L'alcool, la drogue, je connais assez. Mais outre l'éclate, je privilégie aussi les discussions, les sorties culturelles. Et surtout, je ne suis jamais contre une partie de poker, tant qu'il y a un peu de vodka à la clé.

Relations amoureuses : J'ai jamais réussi à me fixer. Ma première relation homosexuelle, je l'ai connue au couvent. Quelque chose de si doux, de si intense... Première fois que j'eus le coeur brisé. Nous ne survîmes pas à ma fuite jusqu'à la capitale. Deuxième coup dur, lors de ma formation à la Sorbonne. Une prof de lettres charmante, tombée dans mes bras alors que je n'avais pas 20 ans. Une aventure magnifique, unique en son genre... Qui prit fin lorsqu'elle me quitta pour un homme. Depuis, je vis l'amour au jour le jour, en solo, multipliant les aventures d'un soir, ou les non aventures tout court... En gros, c'est le bazar chez moi côté coeur.


The way that I live…



Biographie : Je suis née il y a 25 ans de cela, dans le Brulhois, en France, quelque part dans les Pyrénnées. Des parents formidables, présents. Tous deux flics. J'ai une petite soeur, Jade, qui a deux ans de moins que moi. Notre enfance fut heureuse. Nous étions inséparables. Jusqu'à ce que le destin décida de s'abattre sur nous. Nos parents furent tués, lors de violentes émeutes, à Agen. J'avais 5 ans. On nous envoya dans des couvents. C'est là où je fus séparées de Jade. Les disciples étaient classées selon l'âge et elle ne pouvait donc faire partie de mon groupe... Ce fut pour moi l'enfer. Je restais inconsolable. C'est au couvent que je me tissais mon cocon de solitude. Pourtant, je n'étais pas une mauvaise disciple. Comme toutes les autres, je priais quand on nous le demandait, je copiais bien proprement tous les textes en latin qu'on nous soumettait... Mais... Mais nous étions dans les années 1990. Ce mode de vie ne me convenait pas.

Au fil de mon apprentissage, dans le mensonge et les illusions utopiques, je me détachais et tâchais de me former moi-même. Un homme bienveillant s'intéressa à moi, lors de nos sorties hebdomadaires pour célébrer la messe. J'étais alors une adolescente au regard morne. Il me montra la réalité des mots, de la littérature, loin des clichés catholiques. Sartre, Platon, Nietzsche... Tant d'auteurs qui m'ont poussée à faire une recherche de la connaissance intérieure, transcendant, et de loin, les mensonges que j'avais ingurgité au couvent.

A 18 ans, et forte de cette expérience, je me retirai bien gentiment du couvent, en remerciant les soeurs. Sans le sou, rien que le peu d'affaire que j'avais, c'est à dire des bouquins, un stylo, un papier et ma tête, je m'enfuis jusqu'à la capitale. Là-bas, avec une bourse, je parvins à entrer à la Sorbonne, pour y passer trois années, trois années de dur labeur, pour décrocher une licence de droit. Oui, depuis le meurtre de mes parents, j'étais éprise de justice et peut-être, au fond de moi... De vengeance. Je suivrais donc la voie empruntée par Francis et Elizabeth D'Arcy. Je fus admise en tant que lieutenant.

Deux ans auparavant, je m'étais découverte ma réelle personnalité. Depuis longtemps, je fantasmais sur des femmes. Sur une en particulier, jeune moniale de mon âge, à la grâce lunaire, presque angélique. Bien sûr, encore quelque peu influencée par la religion, je me refusais de m'avouer mon penchant. Puis, il y eut cette nuit. Après avoir passé des heures, des jours, à la regarder, la tête légèrement inclinée sur le côtée, tandis qu'elle copiait soigneusement les lettres sacrées, je me décidai à l'approcher. Tout alla si naturellement... Des échanges de regard, des désirs inavoués, une tension dans l'air, tandis que nous nous croisons dans ce couloir désert. Nos mains qui s'effleurent, nos regards qui se croisent, cet accord tacite, puis les lèvres de la demoiselle, si douces... Ce soulagement qui m'innonde, comme la chaleur qui monte progressivement dans mon corps. Il n'y eut que la lune, cette nuit là. La lune et nos souffles liés. Nos corps unis.

Cet outing, en quelque sorte, changea ma vie. Je ne vis plus rien de la même manière.

Face aux tabous qui régnaient dans les couloirs du commissariat de Neuilly, j'envisageai un nouveau plan de carrière. Je ne pouvais pas me permettre de perdre ma place à cause d'homophobes qui pourraient être mes supérieurs. D'un autre côté, j'étais également une lesbienne assumée et les couleurs arc-en-ciel régissaient ma vie. Une solution?

M'envoler pour la californie. Refuge des homosexuels libérés, où je pourrais fièrement afficher mon appartenance où que j'aille, tout en assurant la loi... Mais que veut le peuple?

Métier : Flic

Passions : Mon flingue, un glock 21 modifié par mes soins. Parcourir la ville, la nuit, dans le silence le plus total. Guettant chaque trace d'infraction. J'aime aussi regarder un bon film en excellente compagnie. Sortir avec mes collègues, m'envoyer en l'air sans pouvoir me souvenir de rien le lendemain, mes cigarettes, faire les 400 coups avec mes potes. Bref, des trucs tout à fait banals. Ah oui, prendre la plume de temps à autres.

Votre devise : Regarde dans ton dos, ma p'tite. T'es sûre que t'as bien regardé? *se fout de la gueule du bleu*





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Hop, mise à jour et terminé pour moi!

Niveau lignes, c'est bon.

*appose son tampon*

Validée !

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